Nuit blanche, part 02
Et oui, la suite arrive déjà
Direction « chez ma tante », oui vous l'aurez compris, nous allons au Crédit Municipal de Paris, afin d'y voir un cheval de troie, uvre de Bruno Peinado, enfin pas le même que chez Homère, ou dans le film sorti sur les écrans l'année dernière, il me semble
Ici, d'une part, nous enrons par la sortie, le privilège du pass, tout en découvrant le lieu, ne venant pour ainsi dire jamais y déposer d'éléments de valeurs
La cour, où trône l'équidé sur son socle pivotant, est couverte de papier de type aluminium qui premet de réfléchir la lumière. De plus le cheval étant lui aussi composé de matière réfléchissante cela donne une illumintaion de cette cour, tel un joyau
Toute la symbolique de ce lieu en cette sculpture
En faisant le tour afin de voir la file d'attente
Au bout de la rue l'espace des Blancs-Manteaux, la spirale de Boris Achour nous surprend en invitant le spectateur à zieuter au travers des ouvertures tout le long d'un cylindre afin de voir se qui se cache à l'intérieur
et la surprise est là, il n'y a qu'un plan séquence de quelques secondes d'un homme se déplaçant allongé sur le dos et ce sur la table d'un bureau
Nous partons des blancs-manteaux pour aller à la conférence de presse de l'adjoint au maire, Christophe Girard. Mais avant cela, un petit détour à la mairie du IVème s'impose, en effet, Metazone s'y produisait
Nous sortons donc pour nous rendre au café marguerite. Accueil parfait, une gentillesse de plus appréciable, un verre de blanc frais à la main, je prend des notes. C'est l'occasion de faire un premier bilan au milieu de la nuit, et d'apprendre que c'est déjà un grand succès, que les marmottes aux buttes de chaumont récoltent une vari engouement des parisiens tout comme les fourmis aux halles. La petite phrase du moment fut celle-ci "Vous, les journalistes, vous êtes un peu bénévole." lorsque une personne de l'assemblée abordait le sujet des participants à l'organisation, certes comme cela, la phrase est sorti de son contexte, mais elle nous a bien fait sourire sur le moment. Mais, nous retiendrons celle-ci :"La nuit n'est pas terminée, il est 03 heures 30
" Bien sûr, ces conférences sont aussi un moyen de se féliciter et de félicititer les parisiens, franciliens, vacanciers pour leur bonne humeur et l'ambiance bonne enfant qui plane sur la Capitale. Une petite référence à Baudelaire par la suite
Hum, la photographe officielle part, et nous, voyant la queue devant l'hôtel de ville, décidons de griller tout le monde
Durant notre déambulation dans ce lieu, nous découvrons l'espace où une émission est tournée pour France 2, présentée par Elisabeth Tchoungui, qui anime Ubik, une émission qui fait un tour d'horizon de l'actualité culturelle sur France 5, dont le titre provient du livre éponyme de Philip K. Dick (un de ces bons romans , par ailleurs avec au programme, cryogénie, le tout dans une hitoire conduite de main de maître
)
Bon, au vu de ce panorama de photos de l'intallation au ceur de l'hôtel de vile de Paris, vous avez pu voir la ballade orchestrée par Matteo Messervy, au travers ces pans de tissus immenses changeant de couleurs, vibrant avec un filet d'air, accompagnés par quelques sons
Bref, une sensation de poésie ayant pour cadre une belle architecture. Bref uen installation dans la lignée de "sous le vent" de Annette Messager, au couvent de cordeliers, mais avec le regard de Matteo.