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  • Hum, je ne sais pas encore de quoi je vais traiter, mais bon, au moins j'aurais déjà un espace où mettre quelques liens ? Que vais-je mettre ? des liens, des articles, des images, des photos... que sais-je encore... de la vidéo ? non... enfin à voir...
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1 janvier 2005

Enfin...

Après une journée off (courses de noël, installation de périphériques, un film au ciné — le retour de Bridget Jones ou un truc comme ça — et une petite soirée), un réveil ponctué de plusieurs phases non propices au sommeil, le temps d'avaler un jus d'orange, d'un rasage et d'une douche, un saut à la banque puis direction un déjeuner fort copieux… (je comprends mieux prendre un godet de vin et une tartine en guise de petit déjeuner) Dans mon état de semi-somnolence, je plonge dans la fraîcheur de la journée afin de présenter Auguste Bartholdi, dont on célèbre le centenaire de sa mort (à Colmar, sa ville de naissance, ainsi qu'au musée des Arts-et-Métiers de Paris jusqu'au mois de mars). Mais qui-est-il, allez-vous me dire ? La réponse tient en 2 œuvres dont Paris possède les répliques miniatures…

 

La première, et sans aucun doute la plus connue du public, est la statue de la Liberté (celle de New-York vient de rouvrir ses portes au public, placée sur l'île à l'entrée de la ville où Auguste Bartholdi séjourna quelques temps). La statue est un cadeau de la France aux Etats-Unis d'Amérique pour célébrer la fin de la guerre d'indépendance. Elle possède une armature métallique que l'on doit à un auter nom très célèbre dont je ne présente pas les œuvres, Gustave Eiffel. Donc, la réplique trône sur la petite île au pied de la Maison de la Radio (qui organise le festival « présences électroniques » dans les jours à venir avec des concerts gratuits, du 17 au 20 février 2005, dont je vous reparlerai plus tard)

La deuxième est la statue imposante, siègeant au centre de la place Denfert-Rochereau, est une réplique du Lion de Belfort, statue de grès d'une vingtaine de mètres enfermant en son cœur un musée dédié à ce sculpteur.

 

Tout à l'heure, je parlais de Gustave Eiffel, et voilà la dame de fer arborant un logo de PARIS2012, ville candidate, ma foi, pourquoi pas en cette journée où sa cime disparaît dans la couche brumeuse de plafond…

 

De là, un petit détour au musée de la marine pour voir l'œuvre d'Ange Leccia, et d'autre part pour l'exposition « les génies de la mer », où il est encore question de sculptures, mais là, ce sont surtout des figures de proue, toutes de bois finement sculpté dont on retiendra quelques très belles pièces telle Amphitrite de Yves-Etienne Collet (déesse de la mer ayant séduit Neptune, le fuit et ai ramené à lui par un dauphin, de leur union naîtra Triton, c'était l'instant mythologie), magnifique « rond de bosse » dont la lecture du cartel nous apprend qu'une peinture blanche la recouvrait à l'origine, ou bien encore ces deux angles de vitrine de Victor Aimone, représentant l'Afrique de l'Amérique au travers de figures féminines très expressives avec les quelques symboles associés à ces continents. Suite à cela, un tour dans la galerie de peinture maritime, où je m'arrête devant un peinture de Louis Garneray représentant un déchargement de marchandise, et ainsi que plus loin sur l'incendie du Kent dont l'intensité dramatique de la toile n'est pas sans rappeler les œuvres du courant romantique de l'époque… Et là, au centre, l'installation vidéo montrant le flux et le reflux de la mer sur le sable par une vision verticale et non pas horizontale, qui rappelle à la fois les roulis à bord des navires, mais aussi une fontaine jaillissant par moment…

 

Bon, de là, s'ensuit le parcours des sculptures, puis une arrivée au Pavillon de l'Arsenal, afin de profiter pleinement de l'exposition « 454 projets pour le repère olympique » en dehors de son vernissage. Force est de constater qu'il y avait pas mal de projets surprenants, innovants, et suffisamment aboutis pour se démarquer des lauréats, de plus, un panneau est dédié aux projets remarqués par le jury composé entre autres de Shigeru Ban (Centre Pompidou de Metz), Jean Nouvel (Musée du Quai Branly)… Près de là, un passage éclair à l'exposition du moment qui attire tellement de monde, et dont la file d'attente pour entrer me fait profiter de l'esplanade en lieu et place de l'exposition « Pharaon ». Puis, direction un bar où j'aval quelques cafés tout en rédigeant sur papier ce compte-rendu…

 

cette journée s'est passée l'année dernière, le samedi 11 décembre 2004, et je n'en rapporte les événements que maintenant, désolé pour ce léger retard…

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- http://www.bartholdi.arts-et-metiers.net<br /> - http://www.musee-marine.fr<br /> - http://www.ina.fr/grm<br /> - http://www.pavillon-arsenal.com<br /> - http://architecture.parisjo2012.fr<br /> - http://www.metz.fr/METZ/CULTURE/BEAUBOURG/index_pompidou.html<br /> - http://www.quaibranly.fr
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