12 novembre 2004
Break...
Une
journée de break, dans une semaine assez chargée, ma foi, fait du plus
grand bien. En définitive, elle permet de se lever plus tard, d'aller
faire quelques courses, de vider le réfrigérateur des produits périmés,
de descendre la poubelle, et de faire la vaisselle. Mais aussi, de
prendre le temps de déjeûner, au menu un poulet fermier rôti accompagné
de frites maison, en forme d'accordéon, de passer un peu de temps avec
un frère en transit durant son voyage, et voir des amis, de passer un
bon moment, en somme. De prendre le dernier métro, de se rendre à une
station, dont on sait que l'on rentrera à pinces par la suite, de
flâner dans le froid de la nuit, de rester en émerveillement face au
reflet de la tour eiffel scintillant sur la Seine, aussi calme qu'une
mer d'huile, de fermer son blouson et de caqueter des dents, de
chercher désepérement un taxi et de finir de rentrer à pied. De
s'allonger quelques minutes, avant de repartir, de profiter un peu de
la ville ensommeillée et peu à peu de son réveil, pour promener un
chien, de prendre un deuxième café (ayant pris un petit dej. chez moi)
et de faire un saut en taxi à la gare de Lyon, de passer au Relay
acheter un journal ou deux, et de le lire sur les bancs à 6 heures, de
monter dans les nouveaux trains corail (teoz, je crois) plus que
confortable et bien chauffer, avant de repartir après un au-revoir vers
la ligne de métro 14 celle toute automatisée en direction de Levallois
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